« Le soir nous surprend à l’improviste. On ne sais plus où le lac finit ». Un grand poète italien du XXème siècle, Vittorio Sereni (1913-1983), écrivant ce fragment gravé dans le rêve, nous parle de « son » lac Majeur, entre le Piémont et la Lombardie, aux pieds des Alpes. Mais, comme toujours dans la vraie poésie, ce vers résonne dans le temps comme une description emblématique de chaque lac, quel qu’il soit. Le lac: des des eaux, des montagnes, des plaines, des villes, le tout en un seul fragment. Un lieu où notre âme se repose, point d’abordage de l’esprit.
Petits comme des larmes ou grands, mais sans jamais donner l’illusion de la mer, si ce n’est dans le cas du lac de Garde (le plus étendu de la péninsule), les lacs italiens sont des décors naturels incomparables. Le long de leurs rives, le temps a laissé en souvenir des visages et des histoires, des vestiges de l’art, des nostalgies et des mémoires. On y entend battre le coeur d’un présent vivant, romantique ou solaire, lorsque tombe le crépuscule ou dans le tourbillon des lumières de la nuit. Des Alpes au Midi, l’Italie est ponctuée de miroirs d’eau, encerclés de montagnes ou de la végétation calme des plaines. Parcourir ce monde c’est un peu revenir sur les traces des grands voyageurs d’autrefois. Un voyage à éprouver, la séduction d’une rive sur laquelle accoster.
LE LAC MAJEUR
Parmi les nombreux lac italiens, un seul mérite le nom de « Majeur »… le Verbano offre aux yeux des visiteurs un triptyque émouvant de couleurs et d’environnements naturels: le miroir bleu des eaux, le vert intense des collines, la tâche brune des montagnes. Une palette de teintes qui s’entremêlent et se dégradent, enveloppant une séquence ininterrompue de bourgs et de petites villes pittoresques, qui donnent sur un petit groupe d’îles, très singulière, qui affleure au centre du plan d’eau.
Situé entre le Piémont et la Lombardie et, vers le Nord, jusqu’au Canton Ticino (Suisse), le lac Majeur se reconnaît dans une spécificité culturelle largement unitaire. Les racines de cette unité plongent dans l’histoire: en effet, le lac a été, sur ses deux rives, le berceau de la noble famille des Borromée, qui, dès le Moyen-âge, y prodigua tout son raffinement: encore aujourd’hui, témoignages de son prestige, on trouve les somptueux palais sur les îles, les riches jardins à l’italienne et l’imposant rocher d’Angera (la célèbre silhouette de Saint Charles appartient à la famille).
Les îles ne sont pas nombreuses sur les lacs italiens. Quatre des plus grandes se trouvent sur les lacs Majeur et d’Orta. Les îles Borromées, dans le golfe devant Stresa, constituent un véritable écrin d’art et de tradition, alors que l’île de San Giulia, devant Orta, accueille aujourd’hui un monastère bénédictin connu dans toute l’Europe. Un efficace service de navigation permet d’arriver en bateau aux îles.
Y ALLER :
L’aéroport le plus proche est celui de Milan Malpensa. Arona e Verbania, les deux principaux centres du lac Majeur, sont bien reliés par train avec Milan.
LE LAC D’ORTA
« Un délicieux petit lac aux pieds du Mont Rose, une île bien située sur des eaux très clames, coquette et simple (…). Le monde que le voyageur a connu se retrouve en petit, modeste et pur: son esprit reposé l’invite à rester là, car un charme poétique et mélodieux l’entoure, avec toute son harmonie, et réveille en lui des idées inhabituelles (…) c’est cela, le lac, en même temps un cloître et la vie ». Ces mots d’Honoré de Balzac sont le portrait suprême d’un des panoramas les plus captivants et romantiques d’Italie, celui de Cusio ou -comme il est plus communément appelé – du lac d’Orta.
C’est un enchantement de paix, dont on apprécie les couleurs surtout dans l’heure envoûtante qui va de la fin de la nuit à la plénitude de l’aurore, quand dans l’air à mesure plus lumineux, émergent du gris le bleu nacré des eaux, le brun et les verts infinis des mont boisés, l’acier des roches et le blanc de la neige sur les cimes plus lointaines. En regardant le paysage du haut du mont Mottarone qui le sépare du lac Majeur, on comprend pourquoi souvent pour raconter le paysage du lac d’Orta on a utilisé le mot « miniature » : dans un territoire de quelques kilomètres carrés, on trouve des plateaux ondulés et des montagne de plus de 1500 mètres d’altitude, des bois et des près, des rochers, l’embouchure de torrents, des petits bourgs et des villes. Et au milieu du lac, qui fascina le philosophe Nietzsche quand il y arriva en mai 1882. Peut-être que seul un endroit comme celui-ci pouvait séduire l’esprit inquiet de Nietzsche : le Cusio est le théâtre de sensations opposées, d’émotions et de surprises.
La ville la plus connue est ORTA SAN GIULIO, une petite ville pleine de charme, qui dans son architecture porte les traces de plusieurs époques: médievales, XVIème siècle, baroque, néoclassique. De la place, située sur la pointe d’un vert promontoire, le regard embrasse tout le lac : sur le fond de ce « salon » avec vue panoramique se trouvent les façades contrites des anciens édifices et le regard peut passer calmement des boutiques sous les arcades à l’île de San Giulio, qui émerge, avec sa basilique romane, entre l’eau et le ciel.
On peut se promener dans les rues étroites du village, où l’on retrouve le parfum du lac et des rêves anciens, à la recherche d’objets en fer forgé ou déguster un petit café et la cuisine typique locale. Ceux qui recherchent un silence plus favorable à la méditation peuvent monter au Sacro Monte (« Mont Sacré »), construit à partir du XVIème siècle et dédié à Saint François d’Assise. Ce lieu envoûtant se dresse au centre d’un grand parc, qui est une réserve protégée, entre hêtres, tilleuls et sapins. Disposées autour de l’église de Saint Nicolao, vingt chapelles sont « animées » par 376 statues et par de grandes fresques, qui illustrent la vie du Saint.
LE LAC DE VIVERONE
En plein coeur du Piémont, dans la province de Biella, non loin de l’embouchure de la Vallée d’Aoste, apparaît comme par magie le lac de Viverone. Ce miroir d’eau est né d’un très ancien glacier et s’étend dans l’imposant amphithéâtre de la Serre d’Ivrea, le profil morainique le plus étendu de l’arc alpin. Viverone, paradis pour les observateurs d’oiseaux, est un véritable joyau de la nature, dont les rives se peuplent l’hiver d’oiseaux aquatiques provenant d’Europe du Nord.
Main on y trouve aussi histoire, tradition, oenologie et gastronomie : en témoignent la découverte des restes d’un village préhistorique sur palafittes, une de plus importantes découvertes archéologiques du XXème siècle, et l’Erbaluce de Caluso, grand vin à déguster dans une oenothèque du château de Roppolo. Près d’Ivrea, commence le superbe district des Cinq lacs (Sirio, Pistono, Nero, de Campagna, San Michele), petits bassins cachés entre des parois de riche végétation.
Au début de leur « Voyage en Italie », les touriste du XIXème siècle passaient les Alpes et devant leurs yeux s’ouvrait un lieu surprenant, une anticipation de soleil, de lumières, de couleurs et d’atmosphères méditerranéennes. C’était la merveille du Lario (lac de Côme) et du Ceresio (lac de Lugano), auxquels on associe un peu plus à l’ouest le lac de Varese et au sud les petits bassins de la Briance, dans une région qui, située entre les brumes de la plaine du Pô et les cimes des Alpes, est un fragment de paradis romantique. Ces lieux encore aujourd’hui recèlent un charme incomparable.
LE LAC DE COME
Dans un coin de la mémoire culturelle commune aux peuples européens, se trouve le lac de Côme. Une citoyenneté que le Lario (l’autre nom du lac) doit à la plume d’Alessandro Manzoni avec « Les fiancés », le roman qui le lie à jamais l’histoire de l’amour difficile entre Renzo e Lucia aux lieux de ce lac lombard, rendant ainsi éternel un paysage d’eaux et de monts. Mais le lac de Côme doit surtout sa popularité dans le monde aux compte-rendus des voyageurs du XIXème, littéralement atmosphère méditerranéenne qui fut la base d’une première affirmation d’un tourisme moderne, bien qu’indubitablement d’élite, dont les gravures jaunies et les vieilles photos gardent vivante l’image: bateaux à vapeur, trams à chevaux, funiculaire, les premiers hôtels de luxe.
On reconnît le caractère exceptionnel des lieux même à partir d’une simple carte géographique de la Lombardie, sur laquelle se détâche un curieux Y renversé qui relie, en une seule étendue d’eau, ce qui semble être trois lacs différents: celui de Colico au nord, de Lecco au sud-est, de Côme au sud-ouest. C’est le Lario, qui est né, comme les autres lacs préalpins italiens, d’un grand glacier qui à l’origine descendait jusqu’à la Briance, où il donna naissance aux actuelles collines morainiques. Le lac s’est formé dans la cavité creusée par les glaciers, dont le passage est prouvé par les roches qui portent encore les marques de l’érosion et par les nombreux rochers erratiques présents surtout dans ce qu’on appelle le Triangle du Lario (la zone comprise entre les deux bras du Y, c’est-à-dire les branches occidentales et orientales du bassin).
Ce qui frappe dans cette région magique, c’est l’association d’une grande variété d’environnements et de panoramas et le charme des habitations. En quelques kilomètres, on passe de la haute montagne au lac, de la vallée alpine la plus inaccessible à la colline la plus douce, des bois de conifères aux palmiers, de la réserve pour animaux aux pistes de ski des tations à la mode, le tout en une myriade de paysages naturels bénéficiant à chaque saison du renouvellement continu des couleurs et des atmosphères. Puis, à côté de la nature, l’intervention de l’homme: de minuscules villages, caractéristiques de par la succession de maisons en pierre retranchées sur les rives, et de célèbres stations touristiques; sans oublier les splendides demeures nobiliaires, où le faste des constructions et des jardins raconte la séduction que le lac de Côme a su autrefois exercer: de luxueuses villas qui brillent par leur art, qui résonnent d’histoires et de légendes, entourées d’une riche végétation, où l’on reste stupéfait de la présence de plates typiques des régions chaudes, comme l’olivier et les nombreuses espèces tropicales qui prospèrent grâce au climat particulièrement doux.
Mais les secrets et les merveilles des nombreux centres riverains sont infinis…. A’ voir absolument :
TREMEZZO, visite de la villa Carlotta – célèbre dans le monde entier pour son splendide parc rempli de fleurs et de plantes rares; là, pendant la saison la plus chaude, fleurissent des cactus, des fougères australes, des palmiers, des cédratiers, des citronniers et des orangers. En avril-mai, la floraison des rhododendrons et des azalées est spectaculaire;
COME, qui s’étend dans une verte vallée ouverte à l’extrémité de la branche occidentale du lac, riche d’art et d’histoire, patrie d’hommes illustres, d’artistes et de scientifiques, de Pline l’Ancien à Alessandro Volta, spectaculaire avec ses grandes villas et ses parcs;
LECCO, sur la branche orientale, dominée par les monts San Martino e Resegone et par le profil des Grignes, cimes berceau de l’histoire de l’alpinisme;
COLICO, la porte de la Valtellina à l’extrémité septentrionale;
GRAVEDONA, paradis des camélias;
BELLANO, où le torrent Pioverna se jette dans un étroit passage entre de grands rochers, formant ainsi des gorges, envoûtant spectacle naturel, accessible grâce à des passerelles suspendues;
MENAGGIO, qui l’été s’anime d’une grande insouciance et est un endroit idéal pour les jeunes et pour ceuw ui souhaitent des vacances sous le signe du divertissement;
VARENNA, centre de la navigation lacustre, lieu touristique vivant et moderne, mais aussi gardien d’un passé médieval;
BELLAGIO, à l’extrémité de la pointe qui divise la branche de Côme de celle de Lecco, un lieu magique, miracle issu de la douceur du climat et d’une atmosphère qui semble suspendue dans le temps: là, entre le XVIIIème et le XIXème siècles, la noblesse lombarde créa son jardin des délices, comme on peut aujourd’hui bien le comprendre en se promenant dans les petites rues du village, en érespirant » l’élégance d’antan, ou en s’immergeant dans la tranquillité des parcs de la villa Melzi d’Eril (premier exemple de jardin à l’anglaise sur le lac) et de la villa Sorbelloni;
OLIVETO LARIO, avec sa production renommée d’huile d’olive;
OSSUCCIO, face à l’île Comacina, qui à l’époque médievale acquit sa renommée de chef d’oeuvre d’architecture militaire, et dont les fastes sont chaque année rappelés lors de la grandiose fête de Saint Jean (en juin);
MOLTRASIO et CERNOBBIO, célébres pour leurs grandes villas, parmi lesquelles la ville d’Este, datant du XVIème siècle, transformée à la fin du XIXème en hôtel et aujourd’hui siège prestigieux de congrès internationaux.
Une façon insolite et particulièrement séduisante de voyager entre ces localités est de naviguer sur le lac en bateau, pour goûter le côté le plus romantique du paysage et observer d’un point de vue unique les villas d’époque et leurs jardins, en savourant une émotion intense, peut-être la seule qui puisse aujourd’hui se rapprocher de celle du Grand tour d’autrefois.
Une autre façon originale pour apprécier les panoramas du Lario est de les admirer d’en haut, grâce au funiculaire Côme-Brunate, sur le téléphérique Argegno-Pigra ou, pour les plus aventureux, à bord d’un hydravion: en effet, à Côme, se trouve l’unique école européenne où l’on peut obtenir le brevet pour piloter ces avions.
Côté gossip, sachez que cette zone est fréquentée non seulement par les touristes, mais également par les paparazzi … en effet, de nombreuses personnalités italiennes et internationales ont élu résidence aux alentours de ce lac magnifique; citons en exemple, à l’attention de ses fans – dont je fais partie – le mythique George Clooney: sachez que vous pourriez avoir la chance de croiser l’acteur au détour d’une ruelle, à pieds ou en moto, car il nous a montré encore une fois son excellent goût en choisissant comme lieu de résidence la villa Oleandra, à LAGLIO, dont il serait tombé littéralement sous le carme un jour lors d’une promenade, au point de demander à son proprétaire de la lui vendre sur-le-champ; si vous le « ratez » chez lui, sachez également que l’acteur est un client assidu du restaurant « Gatto Nero ». Si vous le rencontrez, n’oubliez pas de lui dire que j’attends son appel avec impatience!… pour un petit café voire une pizza, dont il raffole ;-).
Et à propos de (bon) goût : La zone de Côme est célébre, entre autre, pour son extraordinaire production de beaux fils et tissus, notamment de soie d’une très grande qualité. Les siècles derniers, la production était associée à la culture du mûrier et à l’élevage des vers à soie, qui fournissaient sur place la matière première. Aujourd’hui, les ateliers de production comasques sont une des réalités les plus importantes du « made in Italy » dans le secteur de la mode.
Vous recherchez un fournisseur, un client? Vous souhaitez les rencontrer? Je peux les rechercher pour vous, organiser les rendez-vous et vous assister lors des échanges.
Vous l’aurez compris… de tous les lacs italiens jusqu’ici décrits, celui de Côme est mon favori (c’est aussi celui que je connais le mieux); mais voyons donc les autres, qui ne manqueront pas de vous ravir :
Le CERESIO (lac de Lugano)
Mi-italien, mi-suisse, le Ceresio (ou lac de LUGANO) a une morphologie plutôt tortueuse. Il trace un sillon profond qui s’enfonce dans les monts situés derrière VARESE, décrit un arc à PORTO CERESIO et se dirige vers le nord, après avoir contourné par sa branche méridionale l’importante masse du mont San Giorgio. S’ouvrant dans le petit golfe sur lequel se dresse LUGANO, il se replie enfin vers l’ouest, en un fjord sur lequel se précipitent les flancs boisés des montagnes. La couleur vert foncé des feuilles de châtaigners et autres latifoliés domine, couleur qui à de nombreux endroits est la même que celle des eaux dans lesquelles les épaisses forêts se réflètent. Traversé plusieurs fois par la frontière entre les deux Etats, on peut le visiter en naviguant sur des bateaux qui proviennent de LUGANO et qui abordent également dans différentes localités de la côte italienne.
Théâtre les siècles derniers de la coexistence de grandes richessses et d’une pauvreté désolante, d’un luxe décadent et d’une contrebande utilisée pour survivre, d’un tourisme d’élite et de la sueur amère dans les filatures et les usines de tissage de la soie, c’est le « petit monde antique » évoqué dans ses joies et ses douleurs dans le roman du même nom de l’écrivain Antonio Fogazzaro (1842-1911).
Le centre le plus important de la partie italienne est PORLEZZA, bourgade gracieuse et accueillante, avec de bons équipements touristiques. Derrière elle s’ouvre la Valsolda, parcourue d’itinéraires panoramiques pour des excursions qui remontent du bourg médieval de SAN MAMETE ou d’ORIA en direction des petits villages qui surmontent le lac, plongés dans la tranquillité des bois. Non loin de CRESSOGNO, l’église du XVIIème du sanctuaire de Notre Dame de la Caravina mérite une halte. La gastronomie de la région, comme celle du lac de Côme tout proche, se base sur le naturel et la simplicité, c’est-à-dire sur ce que peuvent offrir de mieux la montagne et le lac.
Aujourd’hui comme autrefois, les alpages produisent du beurre, de la ricotta et une grande variété de fromages et de charcuterie, et dans les localités riveraines on peut déguster du poisson, cuisiné de différentes façons.
LES LACS DE LA BRIANCE
Au sud du LARIO, entre COME et LECCO, autrefois lieu de villégiature exclusive pour l’aristocratie et la haute bourgeoisie milanaise, la Briance a, ces dernières décennies, connu surtout un important développement industriel. Mais pour ceux qui aiment les paysages lacustres, la région offre une série de petits joyaux: une collection de diamants le long d’un parcours de moins de 40 kilomètres: les lacs de MONTORFANO, près de COME; d’ALSERIO et de PERUSIANO, tous deux près de la belle petite ville d’Erba; du SEGRINO, d’ANNONE et, en direction de LECCO, de GARLATE et d’OLGINATE, avec des points de vue panoramiques de grand charme.
LE LAC DE VARESE
Ce joli lac préalpin situé en Lombardie nord-occidentale, à mi-chemin entre les lacs Majeur et de Lugano, porte le nom de la ville de VARESE, qui cependant se trouve à quelques kilomètres de ses rives.
Malgré cela, les habitants de VARESE sont fiers de leur lac, dominé par les hauteurs du Sacro Monte (« Mont Sacré »), riche en oeuvres d’art, surtout des XVIIème et XVIIIème siècles (14 chapelles et une église avec des statues et des fresques) et par le panoramique Campo dei Fiori (« Champ des Fleurs »; 1226 mètres).
Le plan d’eau et la région qui l’entoure ont été le berceau d’une très ancienne civilisation néolithique, que témoignent les restes de villages sur palafittes, avec de nombreuses découvertes conservées dans les musées municipaux de VARESE. Parmi les villes, il faut mentionner GAVIRATE, sur la pointe nord, et BIANDRONNO avec la petite île Virginia, un des plus importants lieux de fouilles archéologiques de la zone.
Je vous présenterai les autres lacs italiens dès que possible!
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